Ajout de contrôles
| Site: | QSC |
| Course: | Q-SYS Control 101 Training (French) |
| Book: | Ajout de contrôles |
| Printed by: | Guest user |
| Date: | Friday, 4 October 2024, 10:46 PM |
Description
Description de la leçon
Ajoutez des contrôles personnalisés de différentes manières et utilisez votre script Lua ou votre Block Controller pour les contrôler.
Transcription Vidéo
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Que vous programmiez avec un script Lua, le Block Controller ou de simples Composants de contrôle, le
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résultat final revient souvent à mettre une sorte de bouton que l'utilisateur peut activer dans une UCI.
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Votre bouton va peut-être lancer votre script personnalisé, ou être contrôlé par un script – de toutes les
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façons, vous devrez lier ces contrôleurs à votre programmation. Cela signifie souvent que vous devrez
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ajouter des contrôleurs vierges à votre projet, alors voyons comment le faire avec les trois méthodes.
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Pour rappel, il n'existe que quelques types fondamentaux de contrôleurs : les boutons et les commandes
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appelées « knobs » sont interactifs, tandis que Meters et LED sont des compteurs et voyants affichant
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des informations. Les champs de texte peuvent être les deux – pour saisir des informations ou afficher la
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chaîne d’un autre contrôleur.
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Pour ajouter un bouton vide directement dans votre projet, vous pouvez prendre le composant Custom
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Controls. Par défaut, il n'a rien dans son tableau de bord, jusqu'à ce que vous choisissiez le contrôleur
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voulu ici dans ses Propriétés.
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Vous pouvez ajouter plusieurs copies du même type de bouton dans des groupes, alors sélectionnons un
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type pour notre premier groupe. Il semble y avoir environ 20 types de contrôleurs différents, mais ce
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sont toutes des variantes des cinq que nous venons de citer.
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Ceux-ci sont tous de types knob, et ceux-là de type bouton, vous voyez ? Ils ont juste des dénominations
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et des plages prédéterminées différentes, que vous pouvez également personnaliser.
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Une fois que vous avez sélectionné un type de contrôleur pour un groupe, vous pouvez en ajouter
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d'autres identiques en augmentant le nombre dans Count, de 1 à 256. Vous avez aussi la possibilité
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d'ajouter un second groupe pour un autre type de contrôleur.
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Sachez que vous ne pouvez pas sélectionner le même type de contrôleur pour votre second groupe. S’il
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vous faut plus de 256 contrôleurs du même type, vous devrez ajouter un autre composant Custom Controls.
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En repensant à notre vidéo sur l'arbre de contrôle de Q-SYS, les différences entre ces contrôleurs ont
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maintenant plus de sens. Un bouton Mute et un bouton Toggle, par exemple, ont exactement les
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mêmes valeurs et positions, mais un bouton Toggle a des chaînes true/false signifiant vrai/faux et un
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bouton Mute des chaînes muted/unmuted signifiant son coupé/son rétabli.
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Si vous ajoutez un contrôleur Generic Float knob ayant la même plage qu'un contrôleur de niveau Level,
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ils auront les mêmes valeurs numérique et de position, mais la chaîne du contrôleur Level se terminera par « dB ».
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Consultez le fichier d'aide pour obtenir la liste complète des valeurs, positions et chaînes de ces
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contrôleurs, ainsi que leurs plages de personnalisation et par défaut.
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Si vous utilisez des Composants de contrôle, vous pouvez commencer à les câbler directement aux
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broches de commande de votre choix. Si vous utilisez le composant Control Script, vous pouvez le câbler à votre script.
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Vous pouvez ensuite faire référence à ce contrôleur dans le script en utilisant le mot-clé Controls, qui est
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l'objet principal de l'arbre de contrôle.
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Dans ce cas, Controls-point-Inputs ou Controls-point-Outputs selon le point de câblage. Vous devrez
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aussi indiquer entre crochets la broche de connexion, ce que l’on appelle son index.
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Vous pouvez ensuite étendre cet arbre de contrôle pour faire référence à une propriété spécifique du
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contrôleur. Avec la commande vue dans la vidéo précédente, j'ai pu imprimer la valeur de ce contrôleur
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dans la fenêtre de débogage en tapant « print (Controls-point-Inputs[index 1]-point-Value) ».
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Cependant, si vous créez des contrôleurs personnalisés juste pour les connecter à un script de contrôle,
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utilisez plutôt le composant Text Controller. Il permet également d'ajouter des contrôleurs vides à votre
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projet, mais ceux-ci y sont déjà intégrés, il est donc plus facile d'y faire référence. Rappelons que les
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anciennes versions de Q-SYS ont un composant « Scriptable Controls » à la place du Text Controller.
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Leurs fonctionnalités sont pour la plupart les mêmes, mais leur interface est légèrement différente.
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Nous nous concentrerons sur la version Text Controller.
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L'interface d'ajout de contrôleurs dans ce composant est différente de celle du composant Custom
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Controls, mais le concept est le même. Plutôt que de définir les contrôleurs dans les Propriétés, nous
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pouvons les ajouter directement ici dans le tableau de bord.
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Commencez par cliquer sur le bouton plus pour ajouter un contrôleur, et spécifiez ensuite son type par
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catégorie. Tous les boutons sont regroupés et vous pouvez choisir entre un bouton momentané, Toggle
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ou Trigger. Si nous sélectionnons Indicator, nous retrouverons nos LED, compteurs et afficheurs de texte.
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Personnellement, je trouve cette organisation un peu plus intuitive que les Custom Controls que nous
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venons de voir, car le classement est par fonction plutôt que par ordre alphabétique.
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Pour les contrôleurs à plage personnalisable, vous pouvez spécifier les valeurs Mini et Maxi. Et si vous
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voulez exposer ce contrôleur pour le câbler à autre chose dans Q-SYS, vous pouvez inclure une broche
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d'entrée ou de sortie, ou les deux, qui s'ajouteront à votre composant dans le schéma après avoir cliqué sur OK.
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Vous avez également la possibilité de nommer ce contrôleur, ce que je vous recommande fortement de
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faire. « Control 1 » n'est pas un bon nom. Vous pourriez le nommer comme vous – Kevin.
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Quoi ? Comment ai-je su que vous vous appeliez Kevin ? Je suis trop bon. Tous les Kevin sont en train de
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flipper, et les autres se disent : « Je ne m'appelle pas Kevin ». Quoi qu'il en soit, l'avantage de nommer
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votre contrôleur est que vous pouvez le citer par son nom dans votre script.
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Plutôt que Controls-point-Inputs[index 1] que nous avons vu dans l'exemple précédent, je peux
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maintenant faire référence à ce contrôleur avec Controls-point-Kevin dans le script. Si vous ajoutez
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plusieurs exemplaires de ce même Contrôleur, vous devrez faire référence à leur index dans l'arbre de
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contrôle Lua comme ceci : Controls-point-Kevin[index 1], comme les entrées de Control Script.
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Faites attention à l'utilisation d'espaces dans le nom de vos contrôleurs. Si votre nom de contrôleur
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comporte un espace, vous devrez le mentionner entre crochets et guillemets comme ceci :
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Controls-point-crochet-guillemets-Kevin Jones-guillemets-crochet.
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PS - Si un Kevin Jones regarde ça, il doit devenir fou.
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Et rendez-vous service en utilisant une convention d'appellation cohérente, de sorte que si un autre
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programmeur doit un jour travailler sur ce projet, il pourra facilement comprendre vos appellations.
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Enfin, regardons le Block Controller. Double-cliquez sur ce panneau et vous verrez la même interface
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que dans le Text Controller. Vous pouvez ajouter des boutons, définir leur type, etc.
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Une fois encore, vous avez la possibilité d'ajouter des broches de commande au composant et de
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donner un nom à votre contrôleur. Cette fois, pas d'inquiétude pour les espaces dans ce nom. Le Block
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Controller sait comment corriger cette éventuelle erreur de syntaxe en intégrant les crochets et les
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guillemets appropriés lorsqu'il compile, alors soyez fou, Kevin. Nommez-les comme vous voulez.
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« Ce type est obsédé par les Kevin. »
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« Hé Kevin, qu'est-ce que tu regardes ? »
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« Sors de mon espace, Kevin ! »
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L'un des grands avantages du Block Controller est que vous pouvez ajouter de la même façon des
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connexions. Comme pour les boutons de commande, vous pouvez choisir une connexion TCP, UDP ou
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série, et la nommer.
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L'adresse IP et le numéro de port se règlent une fois en mode émulation ou en mode d'exécution, et si
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vous voulez les contrôler dynamiquement, vous pouvez exposer leurs broches de commande.
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Dans le Block Controller, vous verrez ces connexions listées sous vos Contrôleurs, avec de nouveaux
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blocs associés à toutes les actions possibles sur une connexion de ce type. Nous examinerons ces
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connexions dans une prochaine vidéo.
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C'est tout pour l’ajout de contrôleurs. Il y a un exercice rapide à faire maintenant dans votre Cahier
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d'exercices Q-SYS Contrôle. Quand vous l'aurez terminé, passez à la section suivante, nous examinerons
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quelques autres branches de l'arbre de contrôle associées à ces contrôleurs.